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Montagne Pyrénées

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Aqueras montanhas qui tant aimadas son

Ancizan

L’origine du toponyme Ancizan vient de « Ancisianum », du nom propre latin « Ancisius » et suffixe d’appartenance « anum » : « le domaine d’Ancisius ».

Le saint patron d’Ancizan est Saint Blaise fêté le 3 février.

Les ancizanois(e)s étaient surnommés « eths truca-taulèrs », « les tapageurs », « les piliers de cabaret » ou « les joueurs de cartes ».

Selon d’autres, il s’agirait d' »eths truca-telèrs » : « ceux qui frappent les métiers à tisser » car la ville d’Ancizan comptait de nombreux tisserands.

Lire l’article sur l’industrie des blanchiers en vallée d’Aure

Ousten qui était une commune en 1790 a été rattachée, entre 1791 et 1801, à Ancizan.

En 1841, la ville comptait 1022 habitants (332 en 2007).

Ancizan fait partie de la commission syndicale des IV Véziaux d’Aure  avec Cadéac, Grézian et Guchen.

Ancizan a vécu un drame en 1953 : suite à un orage violent sur l’Arbizon, le ruisseau d’Erabat, alias Merlé, sur son passage a tout dévasté : La grande colère du Merlé

Comments (3) on “Ancizan”

  1. Tederic dit :
    10 novembre 2010 à 15 h 38 min

    Adiu !
    Les informations sur les surnoms des habitants sont très intéressantes, et j’envisage de les reprendre dans les « lòcs » de Gasconha.com de type [commune] où déjà figurent parfois les gentilés officiel ou gascon.
    Sur « vesiau » :
    http://gasconha.com/index.php?tipdoc=mots&mot=vesiau
    Donc, plutôt « communauté de voisins » que « voisin », et le mot est féminin et se prononce « béziaou ».
    Autre point de détail : la version en graphie alibertine de « Guchan » qui est indiquée (Gusha) me parait impossible. A défaut d’autre info, je pencherais pour « Guishan » qui peut en effet se prononcer à peu près comme « Gushà ».
    Amistats

  2. admin dit :
    10 novembre 2010 à 15 h 44 min

    Merci pour ces précisions, Tederic.
    Il me semblait en effet que voisin était « besi », c’est ce que me répète constamment mon voisin 🙂
    Pour Gusha, je l’ai pris dans l’ouvrage « Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées »- Michel Grosclaude – Jean-François Le Nail.

  3. Tederic dit :
    17 novembre 2010 à 19 h 15 min

    Eth ton vesin qu’a rason / Eth toun bézi qu’a razoun !

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